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SERPENT -  LIBERTAIRE

SERPENT - LIBERTAIRE

anarchiste individualiste

29/10/2017 Publié depuis Overblog

Comment la France a traité l’islam et les musulmans DES LUMIÈRES AUX DÉBATS ACTUELS ORIENT XXI > MAGAZINE > HISTOIRE > JAL

La construction du « problème musulman » en France ne peut se comprendre sans remonter à l’histoire des relations...

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29/10/2017 Publié depuis Overblog

Le rêve englouti des Kurdes irakiens ORIENT XXI > MAGAZINE > SYLVAIN MERCADIER > 25 OCTOBRE 2017

En quelques jours, les Kurdes d’Irak sont passés de l’euphorie après un référendum historique à une humiliante...

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29/10/2017 Publié depuis Overblog

Le Soudan s’aligne sur le camp saoudien FIN DES SANCTIONS AMÉRICAINES

La levée, le 6 octobre 2017, des sanctions économiques américaines envers le Soudan est passée relativement inaperçue....

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28/10/2017 Publié depuis Overblog

La révolution russe en questions

u séisme qui bouleversa la Russie en 1917 émerge le récit d’une révolution sociale qu’accompagna avec radicalité...

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28/10/2017 Publié depuis Overblog

ANARCHIE ET COMMUNISME Anarchie et Communisme Carlo Cafiero (première parution : 1880) Mis en ligne le 27 mars 2008 Thèmes : Anarchismes, anarchie (103 brochures) Communismes (25 brochures) Formats : (HTML)   (PDF,266.8 ko)   Version papier disponible chez : Nadarlana (Montpellier) ou bien chez Zanzara athée (Paris-banlieue) Au con

u congrès tenu à Paris par la région du Centre, un orateur, qui s’est distingué par son acharnement contre les...

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28/10/2017 Publié depuis Overblog

COMMUNISATION : LE DÉCLIN SÉNILE DE L’ANARCHIE Communisation : le déclin sénile de l’anarchie Conspiration des Cellules de Feu — CCF , Fédération Anarchiste Informelle - Front Révolutionnaire International — FAI/FRI (première parution : juin 2015) Mis en ligne le 27 octobre 2017 Thèmes : Agitations armées (33 brochures) Anarchismes, anarchie (103 brochures) Formats : (HTML)   (PDF,249 ko)   (PDF,252.7 ko)   (PDF,860.9 ko)   (PDF,838.6 ko)   Version papier disponible chez : Tendresse et vandalisme (nomades)

Ce texte, traduit en anglais et diffusé en juin 2015 sur Inter Arma, a été écrit par les membres emprisonnés de...

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28/10/2017 Publié depuis Overblog

Guillotinons les anarcho-libertaires (republication de 2017)

Étant donné la recrudescence de l’utilisation du ter me « anarcho-libertaire » dans le contexte actuel (terme probablement...

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28/10/2017 Publié depuis Overblog

Monatte, sans galons et sans grade Pierre Monatte, sans galons et sans grade jeudi 19 octobre 2017 par F.G. popularité : 3%

lus rien, ou presque, ne semble désormais tenir des anciens adossements auxquels s’appuyaient au cours du siècle...

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28/10/2017 Publié depuis Overblog

Puigdemont appelle à « s’opposer » pacifiquement à la mise sous tutelle de la Catalogne 36 En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/#DACzuR7vfkHrib9k.99

Au lendemain de sa destitution vendredi 27 octobre par Madrid, l’indépendantiste Carles Puigdemont a appelé samedi...

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28/10/2017 Publié depuis Overblog

Prochaine date de mobilisation, le 16 novembre. Martinez veut-il vraiment gagner contre la loi travail ? Trois jours après l’intersyndicale qui a mené la CGT, FO, l’UNEF, Solidaires, l’UNL et la FIDL à appeler à une nouvelle date de grève le 16 novembre contre les ordonnances, il apparait de plus en plus évident pour les militants que la stratégie des directions syndicales a été loin de préparer un plan sérieux à même de gagner. Face aux politiques de divisions des dates, de morcellement des combats, comment peut-on sortir d’une impasse qui serait synonyme d’un recul social sans précédent ? Prochaine date de mobilisation, le 16 novembre. Martinez veut-il vraiment gagner contre la loi travail ? George Waters jeudi 26 octobre 0 Nouvelle trahison ouverte de Berger, tandis que Mailly est obligé de rentrer dans le rang Ce qu’on ne peut reprocher dernièrement à Laurent Berger, leader de la CFDT, c’est sa constance dans la trahison. Quand bien même le collaborationnisme de Berger qui ne fait pas vraiment l’unanimité à la base, la direction persiste et signe : il n’ira pas dans la rue, quand bien même ca gronde. Abandonné temporairement par Mailly condamné par la fronde interne à manifester avant le 20 novembre, Berger retrouve par la même son statut de premier interlocuteur avec le gouvernement comme au printemps 2016, avec la différence que nombre d’union départementales et de fédérations veulent cette fois-ci en découdre dans la rue. Cette position de proximité retrouvée avec Macron lui donne des ailes, allant même jusqu’à jeter en dehors des locaux de la CFDT, toutes les directions syndicales qui n’ont pas suivi la ligne de collaboration ouvert avec Macron. « On a demandé une salle, mais on a été mis dehors. La CFDT n’a pas souhaité nous mettre un bureau à disposition », résume Pavageau de FO. Expulsé du siège de la CFDT, une pratique qu’il n’aurait sans doute jamais osé mettre en œuvre avec les syndicats patronaux… Du 12 septembre au 19 octobre : l’échec de la stratégie Martinez contre les ordonnances Cela fait déjà presque deux mois que le gouvernement a dévoilé les textes finaux des ordonnances sur le Code du travail, et déjà quatre journées de mobilisations. Pour beaucoup d’équipes syndicales et de militants, avant toute chose, l’heure est au bilan : après un 12 septembre réussi, le 21 septembre a divisé d’un côté les fonctionnaires qui manifestaient le 10 octobre et les autres. Finalement, la date, appelée par la seule CGT, le 19 octobre, n’a vraiment pas été à la hauteur. Pourtant, dans beaucoup de secteurs, la détestation de Macron et la détermination à ne pas vouloir voir ses conditions de travail baisser (encore une fois) est bien réelle. C’est pour cela que, les routiers puis les dockers ont pu obtenir des avancées dans leurs négociations sur leurs conventions collectives, quand bien même ces victoires se sont cantonnées de façon sectorielle. C’est aussi pour cela que 400 000 fonctionnaires ont défilé le 10 octobre, avec une forte pression à la convergence public-privé, soit autant que le 12 septembre, sans même que les directions confédérales n’appellent à rejoindre la date de la fonction publique. Or qui est responsable de la division des dates entre les différents secteurs ainsi que les « grèves saute-moutons » ? Assurément, ce ne sont pas les équipes syndicales de Solidaires ou de la CGT qui décide de l’agencement du calendrier de la contestation, et c’est bien Montreuil, en intersyndicale ou non, qui décide de ces dates. La mobilisation du 19 octobre, qui a vu le nombre de manifestants être divisé par deux ou presque, a mis en lumière la faible volonté de Martinez d’initier un mouvement d’ampleur, même au sein de la CGT. Le fait que Montreuil n’ait même pas incité toutes les unions départementales à préparer le 19 octobre en est la traduction la plus saillante. Elargir le front syndical suffit-il pour gagner ? Face à cet échec, la direction de la CGT mise tout sur l’élargissement de l’intersyndicale, que ce soit au niveau national ou au niveau local. Dans une « Note aux organisations [de la CGT] », la Confédération explique sa démarche à la veille de l’intersyndicale du 24 octobre de la façon suivante : « Partant de l’analyse et de l’appréciation des politiques sociales et économiques régressives pour les salariés, la jeunesse, les privés d’emploi et les retraités, ainsi que des ordonnances réformant le droit du travail, nous souhaitons aboutir à une journée nationale interprofessionnelle de mobilisations avec grèves dans les entreprises et établissements ainsi que des manifestations. Nous la souhaitons à la mi-novembre, dans l’unité la plus large possible. ». Si on ne peut qu’approuver la volonté d’élargir le front syndical contre les ordonnances et la volonté de faire émerger un front interprofessionnel, les paroles de la direction de la CGT ne concordent pas avec ses actes. Le 10 octobre, de nombreuses organisations syndicales de base ont appelé à faire converger les colères autour de la mobilisation des fonctionnaires, et ainsi, tous les syndicats de cheminots avaient appelé à la mobilisation… Tous ? Non, sauf la CGT-Cheminots, qui s’est repliée seule sur le 19 octobre. Dans la même veine, l’annonce récente que la FNIC-CGT (syndicat des industries pétrolières) voulait entamer une grève reconductible le 23 novembre montre la non-volonté de la direction de la CGT de voir un mouvement d’ensemble interprofessionnel émerger, ou en tout cas de ne pas se doter des moyens de coordonner réellement les bagarres. Si Martinez, dans ses déclarations, cherche à se montrer de plus en plus volontaire dans la construction d’un mouvement contre les ordonnances à la hauteur des attaques, la politique réelle de Montreuil n’y est pas, et ne peut que nous mener dans le mur. Dans ce contexte, les interpellations en direction de la CFDT, qui a par ailleurs revendiqué un certain nombre de mesures de la Loi Travail 1 et 2 (notamment un « meilleur encadrement du recours aux formes précaires d’emploi par la négociation de branche » et une « l’amélioration de l’indemnité de licenciement »), apparaît, au niveau national et local, comme une posture. Si la volonté de construire un mouvement avec les UD de la FE-CGC, de l’Unsa et de la CFDT qui sont en désaccord avec leur centrale est nécessaire, la question des méthodes, de la construction de la grève reconductible l’est d’autant plus. Faire du 16 novembre une date pour construire un mouvement d’ensemble ? Il n’est écrit nulle part qu’il devrait y avoir « victoire par KO » sur les ordonnances au profit de Macron. Contrairement à ce que suggérait Mélenchon, sur le plateau de TF1, il y a une dizaine de jours, ce ne sont pas d’autres mobilisations, le week-end, comme le 23 septembre, qui vont permettre de créer un rapport de force sur les lieux de travail et d’études. Face à la politique de Martinez et des autres directions syndicales, seule une autre politique, mettant en avant les mobilisations interprofessionnelles ainsi que la grève reconductible comme outil pour gagner pourra poser les bases d’un plan de guerre à même de gagner contre Macron. Beaucoup de syndicalistes, qu’ils soient de Force Ouvrière, de la CGT, de Solidaires, voient cette nécessité. Et ils sont rejoints par celles et ceux qui, au sein des organisations politiques du monde du travail et de la jeunesse, du PCF à l’extrême gauche en passant par la France Insoumise, sont de la construction de toutes les mobilisations. MOTS-CLÉS Mobilisation du 16 novembre / Philippe Martinez / Loi travail 2 / CFDT / UNEF / Edito / FO / Emmanuel Macron / CGT / Politique CommentairesLAISSER UN COMMENTAIRE Solidaritat-Visuel Les plus lus dans cette section 1C’est parti : Après le code du Travail, Macron s’attaque à la sécurité sociale 2Le gouvernement supprime la taxe sur les activités polluantes et les installations classées 3Paris. Hommage à Rémi Fraisse : "Dans le métro, des manifestant.e.s sont matraqué.e.s, leur sang recouvrant les murs du quai" 4Incendier une gendarmerie pour faire libérer les camarades ? 5Prochaine date de mobilisation, le 16 novembre. Martinez veut-il vraiment gagner contre la loi travail ? 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