20 fois plus de bagnoles cramées par le lumpen en une seule nuit que par les « gilets jaunes » - de manière involontaire dans la fièvre des émeutes - en un mois d'agitation. Zéro arrestation d'un côté et des centaines de l'autre, y compris pour le motif de port de lunettes de plongée. Qui dit mieux ?
Autant pour cette "terreur d'Etat" dans les banlieues avec laquelle nous gavent les gauchistes à longueur d'années, devenus étrangement muets quand les flash balls et les Grenades de désencerclement tuent ou mutilent ceux la même qu'ils désignent avec mépris sous le terme de "privilégiés", et dont le tort semble être de ne pas posséder un casier judiciaire long comme le bras. Il est vrai que l'immense majorité de ces "anarchistes" (?!?) suce aujourd'hui la roue de Macron, quand les masses refusent de subir de plein fouet les restructurations capitalistes en cours. Motif invoqué pour justifier cette désertion : "les GJ sont tous des fachos". Plus con tu meurs...le néant politique à son zénith.
Notons que les victimes de ces exactions à répétitions, sont des prolétaires dont un nombre conséquent sont de couleurs (1). Une bonne raison pour rappeler que foutre le feu à des bagnoles de pauvres à une signification politique précise, celle d'une haine coriace de la classe ouvrière. Un dénominateur commun qui explique l'admiration du bourgeois-bohème universitaire pour la racaille, conjugué à ce mépris pour les GJ.
Moralité : Pas besoin de flics pour maintenir l'ordre et la peur. Le lumpen s'en charge très bien. Le gouvernement, lui, approuve et fait des économies.
(1) Je le précise pour le crétin de service qui va encore m'insulter. Mon camp est celui de la classe ouvrière, le sien celui du lumpen. Qu'il assume et ne me gonfle pas avec ses fables sur mon supposé "racisme". Il va falloir argumenter cette fois ci ou je vire à tour de bras La plaisanterie s'arrête.